Tuesday, March 12, 2013

Synthèse Inf6107 - Le Web social

Synthèse Inf6107 
Le Web social



Introduction

Dans le cadre du cours INF6107 Le Web social de TELUQ nous avons eu à aborder plusieurs sujets dans les huit modules regroupés sur plusieurs semaines. Étant moi-même un habitué du Web depuis le temps de mon premier abonnement sur Microsoft Network avec mon vieux 286 et un modem 2400 baud ; c’était dans les années milieu 1990 si ma mémoire est encore bonne. À l’époque les groupes d’utilisateurs étaient probablement nos premiers pas vers un Web qui allait devenir de plus en plus social avec l’évolution de la technologie et surtout l’adoption de ce mode de communication qui allait changer nos habitudes de vie dans les années 2000. Aujourd’hui en 2013, les années ont passées à la vitesse de la fibre optique mais je peux dire que j’étais là au début en tant que consommateur et que j’y suis encore. Maintenant le défi est de suivre la cadence qui est toujours en pleine évolution, je crois par contre que l’amélioration des fureteurs, des outils, des réseaux sociaux nous ont permis d’élargir la population qui y participent et qui dans certains cas comme les étudiants de ce cours y contribuent.

Voici donc mon essai sur la formation apprise dans les différents modules mais surtout mon interprétation de la situation actuelle que peut avoir le Web social sur les entreprises aujourd’hui et sur celles de demain ; en espérant réussir à vous transmettre la passion de cette grande invention qu’est Internet à mon avis la deuxième en importance après l’invention de l’ordinateur. Je vais m’attarder sur l’impact que peut avoir les réseaux sociaux sur les employeurs des compagnies privées et le secteur public ; est-ce que les réseaux sont des collaborateurs ou des nuisances à la production de l’entreprise ? Ensuite qu’en est-il de la sécurité de l’information parfois partagée par erreur ou pour braver son employeur ? Les employés demandent à utiliser leur tablette, cellulaire et parfois leur ordinateur au travail car ils veulent travailler avec des technologies qu’ils apprécient et utilisent dans leurs vies de tous les jours.     

Auteur

J’ai débuté ma carrière en informatique il y a plus de 25 ans avec l’arrivée des premiers PCs d’IBM au travail chez mon employeur de l’époque l’ACDI. L’informatique à cette époque on tombait dedans un peu par accident ; en tout cas ce le fût pour moi. Quelques compagnies plus tard comme Nortel, Microsoft et maintenant Dell j’ai eu la chance de voir les changements se dérouler sous mes yeux et parfois d’en être un participant actif sur des versions Beta de produits.


Processus de ma  réflexion

Pour en arriver au développement de mes idées dans cet essai j’ai utilisé le logiciel MatchWare MindView version 5, il m’a permis d’y revenir à l’occasion afin de ne pas perdre le fil de mes idées. Voici donc mon idée de départ et ma réflexion sur les thèmes que je désirais aborder :



Le Web social et les employeurs

Qu’en pensent les employeurs des réseaux sociaux ? Est-ce que les grandes entreprises ou les gouvernements ont des politiques précises et directives pour leurs employés sur l’utilisation qu’en font leurs employés ? J’ai fait quelques recherches sur ce sujet, mes employeurs précédents avaient des politiques sur l’utilisation des réseaux sociaux, en fait il était suggéré d’y être présent mais à l’intérieur de balises précises. Ces directives sont assez simples en fait, soyez prudent et les écrits restent. On est toujours regardé par nos clients, la compétition, nos collègues et les dirigeants de la compagnie. Ma façon d’utiliser les réseaux sociaux est simple, lorsque je l’utilise et que je publie quelque chose je procède comme si je publiais sur un portail de l’Intranet de la compagnie ; de cette façon je m’autocensure et j’évite les gaffes.

Chez mes employeurs j’ai fait partie de comités d’embauche et l’une des pratiques que j’ai prise c’est de rechercher les candidats sur la toile ; est-ce qu’ils sont sur LinkedIn, Facebook, Google + ? Si oui, quelle est l’information affichée sur eux et la plupart du temps mes recherches donnent des résultats de candidats professionnels ou parfois ils ne sont pas présent ou presqu’invisible sur le Web et les réseaux sociaux. Jamais jusqu’à présent je n’ai eu de mauvaise surprise, à croire que les professionnels de technologies de l’information reconnaissent l’importance de son image sur le Net.

Dans un article de Florent Francoeur sur lesaffaires.com il est question que les employeurs se doivent de mettre en place une politique d’utilisation des réseaux sociaux, à mon avis un employé averti en vaut deux. Nous l’avons vu dans des lectures de notre cours que certains employés de grandes compagnies ont parfois utilisé des comptes de la compagnie pour commenter l’actualité comme si c’était la compagnie qui le faisait ; les dommages sont parfois important et l’employé s’expose à des sanctions pouvant aller jusqu’au congédiement. Une politique claire permet à l’entreprise de tracer les limites à ce que l’employé peut faire et surtout ne pas faire. De plus les employeurs ont des craintes face à une perte de productivité pour ses salariés, si les réseaux sociaux sont bien utilisés l’entreprise peut en tirer des bénéfices comme une exposition plus grande de sa raison d’affaire et d’être reconnu comme étant de son temps par les plus jeunes employés ; parfois être « cool » peut être payant pour le recrutement de personnel ou de nouveaux clients.

Au gouvernement c’est moins évident, la confidentialité de l’information est primordiale et on craint toujours les excès et la perception du publique qui influence le politique. La plupart des organismes et ministères garderont à l’écart les sites de réseaux sociaux ; les employés ne pouvant y accédé devrait régler cette situation… Par contre rien n’empêche un employé de faire l’utilisation de son téléphone mobile personnel pour accéder les réseaux sociaux ; il existe des utilitaires pour toutes les plateformes : iPhone, Android, Windows Phone, BlackBerry. Il vaut peut-être mieux donner accès et analyser la façon dont les employés utilisent les réseaux ; il pourrait par exemple demander des suggestions aux employés sur la façon d’utiliser les réseaux efficacement pour que l’organisme en bénéficie.

Les plus petites entreprises pour leur part favorisent les réseaux sociaux, certains d’entre elles ont même leur page officielle sur Facebook ou Google Site par exemple. Leurs employés s’ils sont impliqués participeront à la promotion du site et apporteront des suggestions pour des améliorations ; nous n’avons pas besoin d’être un expert les jeunes ont visité tellement de site parfois qu’ils deviennent bons critiques et collaborateurs. Il y a trois ans j’étais dans une firme de consultation de Québec et une formation avait été organisée pour que les employés participent activement sur les réseaux sociaux ; trois ans et demi plus tard je peux dire que la formation a portée fruit et on se croise à l’occasion dans des discussions sur les réseaux les plus populaires. 

Vous pouvez trouver un exemple de politique sur les réseaux sociaux :
Politique relative aux médias sociaux ; Transcontinental a publié sa politique directement sur le Web.


Besoin des gens de se réunir

Pourquoi les réseaux sociaux sont aussi populaires ? Certains vous diront qu’ils sont gratuits, que les gens ont le besoin de faire partie de la gang, de se réunir avec des gens qui pensent comme nous, de s’afficher publiquement ou simplement par voyeurisme.

Pour ma part, ça aura permis à ma famille de garder le contact grâce à Facebook en autre. Comme nous sommes dans trois régions différentes depuis plus de dix ans nous avons ainsi l’occasion de garder le contact et de voir les derniers exploits des petits-enfants. Parfois ce sont de vieux amis que l’on retrouve, ce qui nous permet de reprendre contact ou d’échanger sur de vieilles histoires oubliées. Qu’elle que soit la raison les réseaux sociaux apportent un besoin qui n’était pas présent avant à moins de faire partie de groupes ou d’associations. Certaines personnes arrivent à combattre leur solitude sur ces réseaux, d’autre par contre s’isole dans ce monde virtuel ou l’anonymat leur apporte une échappatoire pour s’exprimer. 


Quelques outils et médias sociaux



Voici mon top dix des outils et médias sociaux que me sont utiles dans mon travail de tous les jours ainsi que mes loisirs ou activités sur les réseaux sociaux : Twitter, LinkedIn, Facebook, Google Chrome, Google Sites, YouTube, Skype, SkyDrive, bing, Google Search

Certains réseaux sociaux comme LinkedIn et Twitter ne sont utilisés que pour des raisons professionnelles ; par contre Facebook et Skype me permettent de garder contact avec mon réseau d’amis et familiale. Les autres Chrome, Google Sites, SkyDrive, YouTube, Bing et Google me sont autant utiles comme outils pour mon travail ou pour les loisirs. Lors du cours « Le Web Social » j’ai eu l’occasion de découvrir un autre fureteur comme FireFox, un outil de collaboration comme Diigo, le dashboard de Netvibes et finalement mon préféré Blogger. 


L’avenir des réseaux sociaux

Je partage le point de vue de Jon Dube dans son article Why smartphones are the future of social networking que l’avenir et la rapidité d’adoption des réseaux sociaux est entre autre relié aux téléphones intelligents. Que ce soit sur la plateforme iOS, Android, BlackBerry ou encore Windows Mobile ils ont tous vu une adoption ultra-rapide d’outils sur leur plateforme permettant de mettre à jour son statut sur les médias sociaux et de suivre les activités en temps réel de ses contacts. En fait plusieurs utilisateurs utilisent plus le téléphone pour les réseaux sociaux que pour surfer le Web ou pour la simple utilisation du téléphone.

Voici un tableau qui représente la fréquentation des réseaux sociaux par les utilisateurs en nombre de minutes utilisées :

 

  http://blogs-images.forbes.com/jondube/files/2012/05/Screen-Shot-2012-05-08-at-3.15.13-PM.png

Aujourd’hui il est de plus en plus rare de voir les utilisateurs du cellulaire sans un téléphone intelligent, il est aussi de plus en plus rare de voir les moins de 30 ans sans un compte sur l’un ou plusieurs réseaux sociaux. Certains ont délaissé leur ordinateur portable pour une tablette ou encore un téléphone intelligent de plus grand format. Je crois que les consommateurs deviennent des receveurs de contenu mais que leur contribution à ce contenu est de moins en moins élaborée au point de vue rédaction. Le contenu avec le temps se transforme en version vocale, vidéo au lieu d’avoir à écrire ; c’est la transmission de l’information à une vitesse grand-V. 

Les médias sociaux au service de la politique

Le monde politique a été à mon avis assez lent à adopter les réseaux sociaux afin de distribuer sa plateforme vers l’électorat. Il aura fallu voir le Président Obama lors de l’élection présidentielle de 2008 utiliser les réseaux sociaux comme MySpace et Facebook ; le plan de financement était d’amasser le plus grand nombre de petits dons venant des utilisateurs de ces réseaux. La réaction des donateurs fût sans précédent, 90% des dons étaient de moins de $100 mais ils étaient très nombreux tellement que le futur président brisa un record de financement pour sa campagne. De plus les réseaux sociaux auront permis à Barack Obama de publiciser les lignes directrices de la campagne au 19-29 ans et de se démarquer de ses concurrents avec des électeurs en recherche de changement.

Au Québec aujourd’hui vous retrouverez sur la toile et les réseaux sociaux tous les partis politiques ; Facebook et Twitter sont parmi les gagnants de choix fait par les partis. Des politiciens, premier ministres sont aussi sur les réseaux sociaux ou Twitter. Certains y sont via leurs attachés politiques ou collaborateurs qui alimentent l’information et répondent en leurs noms. Il n’est pas rare que certains d’entre eux se fassent démasquer comme n’étant pas l’original ; sur les réseaux sociaux les utilisateurs aiment bien ne pas faire affaire avec un robot ou un collaborateur.

Selon moi je champion de Twitter comme politicien  est Denis Coderre, il gazouille sur tous les sujets que ce soit la politique, les arts, le sport comme son équipe préférée les Canadiens de Montréal. Vous n’avez pas à partager son avis pour le suivre et le lire, ses écrits sont rapides et intéressant. Tellement, que sans y avoir pensé au début plusieurs l’on désigné comme prochain maire de Montréal ; sa popularité auprès des utilisateurs des réseaux sociaux et les médias y est pour beaucoup. Si jamais il se présente aux élections municipales à venir je n’ai pas de doutes qu’il utilisera très efficacement ce médium pour cibler les électeurs. Une campagne électorale aujourd’hui c’est de s’exposer le plus souvent possible au plus grand nombre possible d’électeurs. J’ai déjà écrit à M. Coderre pour lui demander si il faisait parfois des conférences sur les réseaux sociaux sur Twitter, à ma grande surprise j’ai eu une réponse dans les 15 minutes ; un bel exemple à suivre mais il est aussi une machine sur un BlackBerry…

Médias sociaux lors de catastrophes ou conflits dans le monde

De nos jours les médias sociaux jouent un rôle primordial lors de catastrophes naturelles ou de conflits dans le monde comme le printemps Arable par exemple ou plus près de nous le conflit étudiant de l’été 2012 au Québec. Les utilisateurs deviennent des témoins instantanés lors de ces évènements importants ; les médias conventionnels utilisent même les informations, images et vidéos transmis dès les premiers instants par les témoins. Plus besoin d’attendre qu’un journaliste et caméra arrivent sur les lieux, les médias en continue sont en mesure de s’adapter rapidement en temps réel et de nous faire vivre la réalité du direct.

Des familles ont ainsi appris que les leurs étaient sains et saufs lors du tremblement de terre et Tsunami au Japon en 2011, la sécurité nationale a pu entreprendre les recherches de survivants selon les informations publiés sur les réseaux sociaux. Ils ont aussi servi de moyen de transmission pour aviser la population de points de service disponibles pour les aider. Lors de catastrophes on peut aussi s’en servir pour lever des fonds pour la population dans le besoin ; une image vaut mille mots et génère les émotions des citoyens.

Lors du Printemps Arable, la dictature au pouvoir comme à l’habitude a essayé de faire la propagande de son message ; mais c’était sans se douter que les réseaux sociaux allaient servir de courroie de transmission au plaidoyer du peuple qui a soulevé un bouclier de protestation dans d’autres pays en mal de liberté. Certains pays encore aujourd’hui continuent de filtrer l’information disponible sur l’Internet mais les pressions de la liberté de distribution de l’information est au débat par des militants qui soulèvent avec passion ce combat.

Les réseaux sociaux se sont adaptés. Leurs utilisateurs ont contribué à en faire une utilisation parfois non-imaginée par les créateurs des réseaux ; aujourd’hui ces mêmes créateurs ont devant eux de nouvelles idées sur l’utilisation qu’il pourrait mettre entre les mains d’une clientèle en constante évolution.            

L’avenir dans ma boule de cristal

C’est ma vision de l’avenir, elle commence aujourd’hui avec les outils et la technologie que nous avons entre les mains, nos maisons et au travail. Si j’analyse mon propre cas, je ne considère comme une personne qui adopte les nouvelles technologies rapidement. J’ai donc aujourd’hui comme technologies :
  • Une voiture qui via Bluetooth est capable de me lire mes courriels et SMS
  • Mes consoles de jeux Xbox et Wii on des accès aux réseaux sociaux, ma télé intelligente aussi ainsi que mon Apple TV
  • J’ai un BlackBerry, iPhone, iPods et un iPad qui ont tous accès à Internet bien sûr
  • 3 ordinateurs (desktop, un portable et serveur de sauvegarde)


Quelques exemples des jouets de ma collection les plus évolués, je n’ai pas tout ce qui existe car il y a un coût à tout ça bien sûr. J’essaie d’avoir des jouets technos qui sont abordables, amusants, cool et utiles à la fois.

Ma boule de cristal me dit que nous n’avons pas encore terminé avec la miniaturisation, donc les écrans seront encore plus plats et les objets auront plus de fonctionnalités intégrées. Par exemple ma liste de technos aujourd’hui est longue, certaines fonctionnalités pourraient être jumelées. Pour ce qui est de ma boule de cristal :

  • Notre cellulaire sera aussi notre portable et desktop, on aura un docking à la maison et au bureau et on aura notre ordinateur en tout temps avec nous
  • La durée de vie des batteries sera de 7 jours
  • La capacité de stockage des disques sera immense sur un téléphone
  • La consommation d’énergie des appareils sera de plus en plus optimale
  • Les réseaux sans-fils au Canada auront enfin innové et donné accès à des liens abordables de très grandes vitesses avec une option sans limite de chargement
  • Nous aurons Internet sur les autoroutes et nos voitures seront en mesure de s’y brancher, le courriel, les SMS, les cartes GPS en temps réels selon le trafic, accès à la télé et Internet pour les passagers sur leurs écrans
  • Il y aura une plus grande automatisation des commandes sur les réseaux sociaux et les appareils utilisateurs 
  • La traduction des textes dans la langue de son choix sera instantanée et à 99% près de la réalité
  • On va encore écrire de moins en moins, les commandes vocales seront utilisation courante
  • Les gros joueurs des réseaux sociaux vont absorber les plus petits ou fusionner avec d’autres gros joueurs
  • Les réseaux sociaux vont viser l’entreprise et non seulement le consommateur comme Google a fait
  • Nous verrons les réseaux sociaux devenir des manufacturiers d’équipements
  • Le câble télé est en voie de disparition, la télé ça sera sur Internet à la demande ou en direct



Conclusion

Les réseaux sociaux je les ai vus grandir, j’en suis et j’essaie de les utiliser dans les limites de leurs utilités avec une bonne étique de conduite ; parfois j’en fais même la promotion auprès des amis, les collègues et les membres de ma famille. Il y en a pour tous les goûts, on peut y trouver sa place et l’avènement des tablettes comme l’iPad ont en autre facilité leur accès auprès des gens moins techniques. À mon avis nous ne voyons que la pointe de l’iceberg aujourd’hui ; son évolution fût rapide mais elle continue de se poursuivre et on doit en faire partie un jour ou l’autre. On se surprend même de recevoir un appel téléphonique parfois tellement on communique via nos murs, le courriel et les SMS. Les médias d’information utilisent beaucoup ceux-ci et aimeraient voir Twitter prendre une plus grande place auprès de monsieur madame tout le monde ce qui n’est pas encore gagné.

Dans dix je vais me faire un devoir de relire ce papier afin de voir l’évolution que l’on a eu. Je nous souhaite à tous une évolution qui aura réussi à élargir nos connaissances et amélioré les contacts avec le plus nombre de personnes possible ; sans limite géographique et technologique.


Les liens que j’ai consultés pour mon essaie 

Article sur le site lesaffaires.com et rédigé par Florent Francoeur le 29 janvier 2011

Politique relative aux réseaux sociaux de la compagnie Transcontinental

Article de Jon Dube sur le futur des réseaux sociaux et l’utilisation des téléphones intelligents

Article sur Wikipédia sur la campagne électorale de Barack Obama

Un article de Matthew Yeomans sur le site TheGuardian au sujet du rôle joué par les réseaux sociaux lors de désastres naturels 



Monday, March 11, 2013

Protéger les Enfants du Web


Introduction


Des années 2007 à 2009 j’ai eu l’opportunité de faire la gestion d’un projet pour l’entreprise Microsoft; il s’agissait du projet Child Explotation Tracking System (CETS). Ce projet a été rendu possible grâce une demande faite par un enquêteur de la police de Toronto à l’époque directement à Bill Gates. L’enquêteur Paul Gillespie rencontrait lui et son équipe d’énormes difficultés à contrer les pédophiles de plus en plus astucieux et nombreux grâce à l’Internet. Cette technologie leurs avaient fourni un moyen de propagation de matériel pornographique ainsi que des forums de discussion utilisés par des enfants vulnérables. La demande du policier était simple est-ce que Bill Gates avec toute l’intelligence que lui et Microsoft ont entre les mains est en mesure de nous aider pour trouver les criminels du Web qui s’attaquent à nos enfants Microsoft a répondu dans l’affirmative à sa demande et a monté une équipe de développeurs et architectes afin de construire une plateforme pour aider aux enquêtes des différents corps policiers à travers le monde. Cette plateforme a permis en autre de relier entre eux les pays et provinces participants afin d’accélérer le temps réponse aux enquêtes ayant des similitudes entres elles et parfois le ou les mêmes criminels. Avoir fait partie d’une telle équipe est évidement une grande fierté; Microsoft y a investi beaucoup d’argent et d’énergie dans un but commun mieux protéger nos enfants.


Initiative et liens

Mon initiative va un peu dans le sens de mon expérience passée mais sur une plus petite échèle soit de regrouper de l’information déjà disponible sur le Net et de la partager avec mes connaissances ainsi que les usagers de la toile. La sécurité c’est avant tout de la prévention, et mieux seront informé les parents et leurs entourages et plus nous serons nombreux à mettre en place des barrières pour contrer les indésirables.

Non de mon site : ProtégerEnfantsWeb


J’ai ajouté de l’information sur la cybercriminalité, fait des recherches sur les corps policiers Canadiens et organismes et ministères qui travaillent pour contrer la cybercriminalité et la pédophilie.
Voici les liens que j’ai en autre affiché sur mon site pour se documenter au sujet de la cybercriminalité et l’exploitation des enfants :
Groupe intégré de la criminalité technologique (GICT)
Cybercriminalité

Ensuite j’ai voulu fournir quelques outils à installer pour se protéger des attaques et surtout ajouter une surveillance de contrôle parental que ce soit sur un système Windows ou Apple. Voici les liens de ces outils :

Activités entreprises

Afin d’afficher mon initiative j’ai d’abord fait la création de mon site sur Google site; j’aime bien cet outil car il est simple à travailler et offre quelques gabarits de site intéressant et de plus les sites de Google se retrouve souvent au haut de la liste des résultats lors d’une recherche avec cet engin.
Pour générer de l’activité sur le site j’ai publié son lien sur Facebook auprès de mes amis, sur Linkedin, Twitter et évidement notre groupe sur Diigo.



Statistiques de fréquentations

Les tendances

Nouveaux vs connus

Type de visiteur
Visites
Pages/visite
Durée moy. de la visite
Taux de rebond
New Visitor
13
10.00
864.85
23.08%
Returning Visitor
5
1.00
0.00
100.00%
18
7.50
624.61
44.44%

Fréquence et dernière visite

Nombre de visites
Visites
Pages vues
1
13
130
2
4
4
3
1
1
18
135


Intérêt et interaction 

Durée de la visite
Visites
Pages vues
0-10 secondes
8
8
11-30 secondes
2
5
31-60 secondes
1
3
61-180 secondes
3
16
181-600 secondes
3
18
1801+ secondes
1
85
18
135




Les visiteurs

Langue

Langue
Visites
Pages/visite
Durée moy. de la visite
Nouvelles visites (en %)
Taux de rebond
en-us
8
1.88
28.88
62.50%
62.50%
fr
6
3.17
101.83
83.33%
33.33%
(not set)
2
43.00
5015.50
50.00%
50.00%
en-ca
1
7.00
261.00
100.00%
0.00%
fr-fr
1
8.00
109.00
100.00%
0.00%
18
7.50
624.61
72.22%
44.44%


Pays

Les référants les plus importants

Je dirais que le référant le plus important fût sans aucun doute Facebook, par contre comme je n’ai que quelques amis (45) et que ce sujet ne s’applique pas à la majorité d’entre eux il était difficile d’attirer leur attention je pense. 

Facteurs de la visibilité de l’initiative

Facteurs qui ont nuis à la visibilité de l’initiative

Possiblement qu’une plus grande période de temps à modifier le contenu du site et à joindre d’autres organismes au Canada ou dans d’autres pays pourrait permettre une plus grande visibilité et participation à cette initiative. Je crois toujours que je sujet est bon et qu’il devrait avoir une grande importance auprès des parents qui ont des jeunes qui navigue Internet; par contre malgré que les organismes et gouvernements ont publié beaucoup de contenu sur ce sujet il faut avouer que les parents passent probablement peu temps du côté de la prévention.
L’autre facteur est que puisque je travaille pour une compagnie publique et connue (DELL) je me dois de conserver une certaine retenue; je n’ai pas affiché mon initiative publiquement sur LinkedIn par exemple ou j’ai présentement 323 contacts actifs. J’ai donc délibérément limité la publicité sur mon initiative à un nombre restreint de contacts; il est quand même possible de retrouver mon initiative sur le Web mais le nombre de visiteur sera de langue française comme l’est mon initiative.

Thursday, February 21, 2013

Informez-vous, lisez, publiez, questionnez et soyez critiquer, mais surtout bloggez!


J’aime bien le billet de Hugh McGuire – Why Academics should blog dans le Module-7 du cours Web Social de TELUQ.

Je suis dans le domaine de l’informatique depuis plusieurs années déjà et je ne m’étais jamais vraiment attardé à blogger; j’ai lu des blogs auparavant mais je n’avais pas moi-même publié un billet à l’externe à part sur des réseaux sociaux ou à l’interne chez mes employeurs. Il faut dire qu’une fois sur le marché du travail il faut faire très attention à nos écrits; nos employeurs et nos clients sont eux aussi des lecteurs attentifs de ce qui se publient sur le Web.

Voici mon quinzième billet (commentaires et sujet de mon cru); je dois avouer que je prends plaisir à partager de mon expérience et surtout mon point de vue sur les sujets de ce cours en autre. Dans le billet de Hugh  McGuire il met en valeur les bienfaits d’écrire, de faire valider nos idées, de les partager, de lire sur des sujets différents avant de commenter comme nous le faisons dans ce cours. Dans mes billets je prends le temps de réfléchir à ce que je vais écrire; un genre de censure professionnelle accumulée avec les années. Je suis une personne qui aime l’actualité, la radio d’opinion, les journaux de gauche et de droite; en fait j’ai une opinion et j’assume mes réflexions.

Le cours Web social m’a permis en autre d’écrire sur un blog et j’ai bien l’intention de continuer; j’ai plusieurs sujets en tête et j’ai surtout l’envie de participer activement en tant qu’étudiant à une communauté curieuse de savoir.  

Si vous désirez lire l’article de Hugh McGuire le voici : http://hughmcguire.net/2008/10/26/why-academics-

Bonne lecture, écriture et au plaisir de lire vos commentaires!